S’il vint, le cher, c’est d’aller vers elle,
À ces vers sots,
s’agitèrent
s’offrit, bu fin
Tu as pris sur moi
cet élan distinct,
Étreinte étendue
au bris de nous,
Ermitage rompu
Aux féroces cités
où se perdaient
nos vies corsettées,
Aux cimes brodées,
filent nos destins
Sur les pas sabotés
s’arpente terre ancestrale,
cressonnière pentue,
sur les pas crottés
La bourrie bourrue


Une réponse à “S’il vint, le cher”
Le Cher, à son bec, se jette dans la Loire, après Tours, rejoints ensuite par la Vienne avant Saumur. J’en ai consommé comme Depardieu, sans abus toutefois…
J’aime la géographie, le territoire français, les bons mots, les traits d’esprit.
Merci pour votre commentaire, il a produit comme résultat un grand sourire !
Bonne nuit à vous !
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