Je ne pourrai plus me satisfaire d’une fenêtre ouverte sur un quotidien prédéfini
L’esprit imaginaire a ce besoin indéfini, cette fenêtre ouverte sur l’aérien infini


Je ne pourrai plus me satisfaire d’une fenêtre ouverte sur un quotidien prédéfini
L’esprit imaginaire a ce besoin indéfini, cette fenêtre ouverte sur l’aérien infini
On regarde dehors par les fenêtres et on se sent comme des prisonniers
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Absolument vrai ! Je crois que nous sommes nombreux à penser ainsi.
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