Télétravail qui croyait prendre
Travail vient du latin
Tripalium
Qui signifie torture
Avec ça le collier de nouilles, sent vaguement le pâté
pas terrible,
Et la cour d’école
Est à court d’écho
Et cet écran total
Fait dans le brutal
On a la tête comme dans un bocal
Et la voix sonne métal
Digital clavier
Taper du code
S’identifier
Pas oublier de dire
à machine
Entrer son loguine
Tu parles d’une biguine !
Torture à distance
De toutes les instances
Tu clique et j’te claque
T’es ta clique et t’es ta claque

5 réponses à “Qui croyait prendre”
Excellent poem!!
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Thanks Leyla / Merci Leyla!
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Un petit poème qui est aussi une gentille diatribe contre le télétravail. Un télétravail que beaucoup ont pris pour la panacée durant quelque temps.
Puis, ils ont compris que rien ne valait le travail ailleurs que toujours derrière un écran et les doigts sur un clavier.
Beaucoup en sont d’ailleurs revenus et n’ont plus voulu être esclaves d’un ordinateur et d’un logiciel.
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Excellent… J’aine bien, le petit côté du’humour plutôt gris!
Jean-Jacques Fournier
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Comme je l’écris souvent, faites l’humour pas la guerre. L’humour est qui plus est bien souvent une manière élégante de dire ou d’ècrire les choses les plus sérieuses, sans nécessairement se prendre au sérieux
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